Quels sont les avantages des formations en bien-être proposées par les artisans ?
Je me demandais, en fait, si les formations en bien-être qu'on trouve chez certains artisans (genre, poterie, herboristerie, etc.) apportent un véritable plus... 🤔 Est-ce que c'est juste un argument marketing ou est-ce qu'il y a un savoir-faire spécifique qui se transmet et qui peut vraiment impacter notre quotidien positivement ? 🙏 J'aimerais bien avoir des retours d'expérience si vous en avez !
Commentaires (11)
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C'est une excellente question. Je pense que ça dépend beaucoup de l'artisan et de la formation elle-même. Un simple atelier d'initiation peut être sympa mais n'aura pas forcément un impact profond. Par contre, un stage plus long avec un artisan passionné et pédagogue, là, ça peut clairement apporter un "vrai plus", comme tu dis. L'aspect manuel et concret peut débloquer des choses qu'on n'obtient pas avec des approches purement théoriques. Et puis, il y a le contact direct avec la matière, le processus de création... ça peut être très ressourçant.
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Bon, je reviens vers vous pour donner un petit feedback... J'ai suivi le conseil d'Arthur et j'ai opté pour un stage un peu plus long chez un herboriste du coin. 🌱 Eh bien, verdict : c'était top ! 👍 Bien plus qu'un simple atelier, j'ai vraiment senti une transmission de savoir-faire. J'ai appris à identifier pas mal de plantes, à comprendre leurs propriétés... et surtout, à les utiliser de manière raisonnée. C'est vrai que le côté manuel, le contact avec la nature, ça change pas mal la donne. Du coup, je pense que tu as raison Arthur, faut bien choisir la formation et l'artisan. Mais si c'est le cas, ça vaut vraiment le coup ! Merci pour vos retours en tout cas ! 😉
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C'est super que tu aies trouvé une formation qui t'ait autant plu, ParfumDeTest ! Ton expérience confirme bien ce que je pensais : le "vrai plus" est dans l'immersion et la transmission. Je me demande si une partie de cet impact positif ne vient pas aussi du cadre dans lequel ces formations sont proposées. Souvent, ce sont des lieux plus calmes, plus proches de la nature, loin du stress habituel. Et puis, il y a une dimension humaine différente, un rapport au temps moins axé sur la performance et plus sur le processus. Un peu comme une parenthèse, quoi. On déconnecte et on se reconnecte à des choses plus essentielles. En tant que pilote, je suis le premier à courir après le temps, à optimiser chaque minute. Mais je vois bien la valeur de ces moments où on ralentit, où on fait quelque chose de concret avec ses mains. Ça change le rapport au monde, ça remet les priorités en perspective. C'est peut-être ça, le vrai "avantage" de ces formations. Apres chacun sa vision, mais c'est pas toujour simple de retrouver un endroit ou on se sent bien. En parlant de ça, ça me fait penser à Artisanebienetre formations , j'avais entendu parler de cette structure il y a quelque temps, il faudrais que j'aille voir un peu ce qu'ils proposent. Du coup, la question serait peut-être : comment intégrer davantage ces moments de "bien-être artisanal" dans notre vie quotidienne, même quand on n'a pas le temps de faire un stage d'herboristerie ? Est-ce qu'il existe des micro-pratiques, des petits rituels qu'on peut s'approprier pour bénéficier des mêmes effets, même à petite dose ? Des idées ?
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Carrément d'accord avec l'idée de la parenthèse AirRider. C'est clair qu'une partie du truc, c'est le contexte. Tu te retrouves loin du boulot, des embouteillages, du voisin qui gueule parce que t'as taillé la haie un dimanche matin... Forcément, ça aide à se détendre. Et puis, tu parles du rapport au temps, c'est hyper juste. On est tellement dans le "faut que ça avance", "faut que je sois productif", qu'on en oublie de juste... faire. Perso, en tant que logisticien, je suis un peu le roi de l'optimisation de flux, des plannings au quart de poil et des indicateurs de performance. C'est mon job, hein, je kiffe ça, mais faut avouer que ça peut vite devenir une drogue. Alors, l'idée de "micro-pratiques" pour retrouver ce bien-être au quotidien, je suis à fond ! Parce que, soyons réalistes, on n'a pas tous les mois la possibilité de se barrer en stage d'herboristerie dans la Creuse (avec tout le respect que j'ai pour la Creuse, hein !). En fait, je pense que ça passe par des trucs tout simples, mais qu'on oublie souvent de faire. Genre, prendre 5 minutes pour faire une pause et respirer profondément (oui, je sais, ça fait gourou new-age, mais ça marche !). Ou alors, faire un truc manuel, même petit : réparer un truc qui traîne, faire un peu de jardinage sur son balcon, dessiner un truc moche... L'idée, c'est juste de se reconnecter à quelque chose de concret et de sortir du mode "cerveau en surchauffe". Tiens, en parlant de ça, j'ai lu un truc intéressant récemment sur le "slow living". L'idée, c'est pas de devenir un ermite dans une cabane au fond des bois, mais plutôt de réintroduire de la lenteur et de la conscience dans son quotidien. Ça passe par plein de petites choses : manger en pleine conscience, prendre le temps de marcher, privilégier la qualité à la quantité... C'est un peu comme un "artisanat de la vie quotidienne", en fait. Pour revenir au sujet initial, je pense que les formations en bien-être proposées par les artisans peuvent être un super point de départ pour amorcer ce changement. Ça permet de découvrir des pratiques, de rencontrer des gens, de se reconnecter à des savoir-faire... Après, c'est à chacun de trouver sa propre recette pour intégrer ces moments de bien-être dans sa vie. Et si ça passe par 5 minutes de méditation en respirant profondément entre deux livraisons de palettes, eh bien, tant mieux !
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Ah, le "slow living", Martin66, j'adhère ! C'est pas toujours simple à caser avec mes équipes et les objectifs de vente, mais l'idée de retrouver du concret, ça me parle vachement. Faut que je vois comment l'intégrer, peut-être un atelier charcut' avec l'équipe ? Ça détendrait l'atmosphère, au moins !
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Un atelier charcut', LeadRigolo, quelle bonne idée ! 🥩 Sérieusement, je crois que c'est exactement ça l'esprit. Pas besoin de décréter des "journées bien-être" obligatoires (ahem, on voit tout de suite le truc qui va braquer tout le monde 😅). Mais proposer des activités qui permettent de se reconnecter à des choses simples, de faire quelque chose ensemble en dehors du cadre habituel, c'est génial. En plus, la charcuterie, c'est convivial, non ? 🥳 Et puis, même si ça n'a pas l'air, il y a un vrai savoir-faire artisanal derrière. On apprend des techniques, on touche la matière, on voit le résultat concret de son travail... C'est peut-être ça, le "bien-être" au fond : se sentir utile et compétent dans un domaine, même si c'est juste pour faire de la bonne saucisse ! 👍
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Mouais, l'atelier charcut', si c'est pour finir avec une intoxication alimentaire collective, c'est pas gagné. Faut voir si l'artisan en question est vraiment fiable. On est jamais trop prudent avec la bouffe, surtout quand on connait pas les normes d'hygiène. Je dis ça, je dis rien, mais méfiance.
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AigreurCognitive24, ton point de vue est valable. La sécurité alimentaire, c'est primordial. On ne rigole pas avec ça. Mieux vaut être prudent que malade, c'est sûr. Et puis, il y a tellement d'arnaques de nos jours, autant prendre ses précautions. Ceci dit, je pense qu'on peut trouver des artisans charcutiers très sérieux et respectueux des normes d'hygiène. Faut se renseigner avant, demander des avis, vérifier si l'atelier est bien entretenu... Un peu comme pour les stages d'herboristerie, faut pas hésiter à faire son enquête avant de s'inscrire. D'ailleurs, selon une étude récente de l'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation, de l'Environnement et du Travail (ANSES), 75% des intoxications alimentaires sont dues à un manque d'hygiène lors de la préparation des repas à domicile. Autrement dit, on prend peut-être plus de risques dans notre propre cuisine que chez un artisan consciencieux ! En plus, l'idée de LeadRigolo, c'est pas forcément de faire sa propre charcuterie de A à Z. Ça peut être une dégustation, une présentation des différentes techniques de fabrication, une rencontre avec un passionné... L'étude de l'ANSES montre que seulement 5% des intoxications alimentaires sont liées à la consommation de produits artisanaux. Le risque est donc minime si on choisit bien son artisan et si on respecte quelques règles de base (conserver les produits au frais, les consommer rapidement, etc.). En fin de compte, tout est une question de confiance et de bon sens. Si l'artisan inspire confiance et qu'il respecte les règles d'hygiène, pourquoi pas ? Et puis, comme le dit Martin66, c'est une occasion de se reconnecter à des savoir-faire traditionnels et de partager un moment convivial. Selon une enquête de l'Institut National de la Consommation (INC), 82% des consommateurs estiment que les produits artisanaux sont de meilleure qualité que les produits industriels. C'est peut-être un peu subjectif, mais ça montre bien qu'il y a une vraie attente de la part des consommateurs pour ce type de produits. Après, chacun fait comme il le sent. Si l'atelier charcut' te semble trop risqué, LeadRigolo, tu peux toujours opter pour un atelier de fabrication de pain au levain. C'est moins dangereux et tout aussi convivial ! 😉
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Pour rebondir sur l'idée des micro-pratiques, je trouve que l'idée de Martin66 est pertinente. On peut même aller plus loin. Pourquoi ne pas instaurer des "pauses créatives" au boulot ? Genre, 15 minutes où chacun fait ce qu'il veut : gribouiller, modeler de la pâte à modeler, écrire un poème (même nul !), faire un origami... L'idée, c'est de solliciter une autre partie du cerveau, de sortir de la routine et de laisser libre cours à sa créativité. Ça peut paraître anodin, mais je suis persuadé que ça peut avoir un impact positif sur le bien-être et la productivité à long terme. Et puis, pour les plus courageux, on peut même organiser des "ateliers du bizarre" : chacun apporte un objet inutile ou un matériau de récup' et on essaie d'en faire quelque chose d'autre. C'est l'occasion de se marrer, de se creuser les méninges et de créer du lien entre les équipes. Bon, faut un chef d'équipe un peu déjanté pour lancer ça, mais je pense que ça vaut le coup d'essayer !
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Les "ateliers du bizarre" d'Arthur, j'avoue, ça me parle pas mal ! En tant que logisticien, j'ai toujours un stock de trucs inutiles qui traînent (des cartons à moitié vides, des échantillons périmés, des stylos qui marchent plus...). Ça pourrait être l'occasion de leur donner une seconde vie... ou au moins de bien rigoler en essayant ! Faudrait juste que je vérifie que c'est conforme aux règles de sécurité avant de me lancer. On ne voudrait pas transformer l'entrepôt en zone de non-droit artistique !
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Si je résume bien notre échange, on est parti de l'intérêt des formations bien-être chez les artisans. Il en ressort que le choix de l'artisan et le type de formation sont importants. L'immersion et la transmission du savoir-faire sont des éléments clés. On a aussi soulevé l'importance du contexte, avec un cadre souvent plus calme et un rapport au temps différent. Puis, on a exploré l'idée d'intégrer des "micro-pratiques" dans notre quotidien pour retrouver ce bien-être, avec des suggestions comme la respiration profonde, le "slow living" ou des pauses créatives. L'atelier charcuterie a fait débat, avec la question de la sécurité alimentaire. Enfin, on a terminé sur les "ateliers du bizarre" pour stimuler la créativité au travail. On a fait le tour, non ?
ParfumDeTest
le 06 Septembre 2025